• Ancien claviériste du groupe de black sympho, Mustis démontre à quel point on ne peut être un mauvais musicien et un bon musicien metal.
    Compositeur des intros les plus symponiques de Dimmu Borgir, il livre ici la version unplugged, versus la version metal.

     et à présent la version metal. Rhhhaaa putain que c'est bon !

     

     

     


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  • Cette reprise, fidèle, du célébrissime Ô fortuna de Carl Orff m'a littéralement assise.

    Un des morceaux que je me passe en boucle :)

     

     


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  • Hé oui ! les métalleux sont comme tout le monde et font sagement leurs petites courses à l'hyper du coin (gling ! gling ! vive la caisse !).

    Filmé par un employé du Leclerc au Hellfest de cette année, qui certes dit "Des malades" mais qui au final conclue "C'est trop bon".

    Une des caissières me disait en 2008 :"La première fois, vous nous faisiez peur, maintenant on vous attend avec impatience."

     Nous gentils !


    Hellfest au E.Leclerc par Spi0n


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  • Ma potesse Okaasan écrivait ceci en commentaire :

    "Par contre j'arrive jamais à comprendre comment ils arrivent jouer en remuant la tête comme ça ! Oo Un exploit ^^"

    En y réfléchissant, c'est vrai que si pour nous headbanguer est aussi naturel que vider une pinte, pour les non initiés cela peut paraître un tantinet débile.

    Le headbanging n'est pas né avec le metal mais il a connu son essor avec ce genre.
    Nous communions avec la musique, nous  ne l'écoutons pas seulement, elle entre en nous et nous confère une énergie, une plénitude que nous exprimons en headbanguant. Qui de vous n'a jamais légèrement secoué la tête sur une mélodie un peu entraînante ? Et bien c'est ce que nous faisons, avec plus de conviction.

    En dépit d'une douloureuse arthrose des cervicales, je m'adonne avec bonheur à cet exercice avec une nette préférence pour l'hélicoptère ou "windmill". Mon médecin n'en est toujours pas revenu "Logiquement, vous ne devriez pas pouvoir faire... ça ! Mais continuez, c'est le meilleur exercice". Hélas, la sécu ne veut pas me rembourser mes concerts ! Vous avez un bon aperçu avec Behemoth mais le champion toutes catégories du windmill est sans conteste Georges Fisher le chanteur du groupe Cannibaal Corpse dont voici un adepte doué

    Attention : c'est du brutal

     

    Ce geste que je qualifie de tribal et qui se pratique seul ou en groupe, mène à une sorte de transe où le monde extérieur s'efface et où on est seul avec la musique et ses ondes énergisantes. C'est quasi hypnotique et j'ai plus d'une fois atteint ainsi un état de bien-être inconnu avec d'autres méthodes, l'avantage de celle-étant d'être parfaitement légale et gratuite. Idem pour les insomnies : un gros coup de Destruction ou de Slayer, un bon secouage de tête et c'est le sommeil de bébé assuré.

    Pour en savoir plus, rendez-vous sur Wikipédia.


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  • Pétée de rire hier (ben j'avoue, c'était le 24 juin 2011) durant le Petit Journal de Yann Barthès (qu'on devrait déclaré de salubrité publique), un peu triste devant les images de ce Hellfest que j'ai raté, car associer metal et Boutin... fallait y penser.

    Aller Chrissine ! Laisse tomber les Black Eyed Peas, et prends ce clip de campagne, y a plein d'amour, de joie et de fraternité là-dedans !


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  • Exit ce groupe finlandais mené tambours battants par l'impétueuse Kimberley Goss, ex du talentueux Alexi Laiho (Children of Bodom).

    Mais j'éprouve toujours le même plaisir à l'écouter après toutes ces années, d'abord parceque ce fut un des premiers groupes que j'ai découverts et aussi parceque les femmes dans le metal, des vraies, des couillues, y en a pas des masses !

     


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  • Il y a des riffs qui ne vous lachent plus jamais depuis la 1ère écoute. Ils s'accrochent à vous, sont des pulsations cardiaques qui font circuler le sang plus vite, qui vous plongent dans une irrépressible envie de headbanguer, de crier pour vous libérer d'un trop plein d'énergie.

    Chaque métalleux a "ses" morceaux fétiches. Pour ma part, il y a le mythique Raining Blood de Slayer, The Poursuit of the Vicking d'Amon Amarth et The Chant of Eskaton de Behemoth.
    Ces 3 morceaux me font headbanguer comme une débile, me filent la patate au réveil ou m'aident à trouver le sommeil après une bonne séance de secouage de tête.

    Je te présente ici 2 versions, celle studio et une version live. Concernant cette dernière, j'ai pris un super pied au Brutal Assault et je me suis retrouvée dans la foule, légère comme une plume et ravie.

    Version studio

     

    Version live


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  • C'était en janvier 2002. J'avais 43 ans.

    La vie s'écoulait mollement entre un mec que je n'aimais plus vraiment mais que je croyais être mon atmosphère, une vie où je m'emmerdais copieusement en essayant de rester "dans le rang" et des "amis" à clichés. Je me satisfaisais de cet état de fait parceque c'était reposant de ne pas me remettre en cause et de ne pas voir que j'étais un morceau de tofu plongé dans le bouillon de la vie. Même saveur, même consistance : mollesse et fadeur.

    Mais en cette nouvelle année, j'allais faire LA rencontre qui allait me réconcilier avec la vie, avec ma Vie.

    Lire la suite...


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